George Foreman nous a quittés ce vendredi 21 mars. Il était bien plus qu’un immense boxeur, bien plus qu’un double champion du monde des poids lourds. Il incarnait une Amérique virile, enracinée, celle qui croit en l’effort, au mérite et en Dieu. Face à la mode du « Black Power », il n’a pas cédé pas aux sirènes communautaristes. Il préférait le drapeau américain au poing levé.
Foreman ne se voyait pas en victime mais en combattant. Il était patriote, chrétien, fidèle à ses valeurs. Il soutenait Donald Trump non par provocation, mais par conviction : celle d’un peuple qui refuse l’effacement, qui célèbre la force et la tradition.
George Foreman, c’était l’Amérique que l’on veut encore aimer. Celle qui ne s’excuse pas d’exister. Repose en paix, champion.
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