Notre pays continue sa descente dans le chaos et l’ensauvagement que nos élites aveuglées refusent de nommer.
Le meurtre d’Elias, 14 ans, à Paris, pour un simple téléphone portable, n’est pas un fait divers isolé. Il s’inscrit dans une série de tragédies sanglantes : le calvaire de la jeune Lola, la lâche mise à mort de Thomas à Crépol et tous les autres.
Ces drames sont le fruit amer d’un laxisme judiciaire crasse et de décennies de politique migratoire irresponsable.
Ces hordes criminelles prospèrent sur le terreau fertile de l’angélisme pénal et du déni idéologique. La République s’est livrée pieds et poings liés à une jeunesse dévoyée, abritée derrière l’archaïsme complice de l’ordonnance de 1945 sur l’enfance délinquante. Ce texte, rédigé pour une France d’après-guerre, est aujourd’hui le masque grotesque de l’impuissance de l’État.
Il faut rompre avec ce délitement, couper le mal à la racine. Le Parti de la France exige l’abrogation immédiate de cette ordonnance et la mise en place d’une politique pénale inflexible, prête à rétablir l’ordre par la force si nécessaire. Nous ne pouvons plus plier le genou sous le poids des larmes et des lamentations mais devons agir afin de restaurer une société digne, bâtie sur la sécurité et l’autorité.
C’est un combat pour la survie de notre Nation : la France doit terrasser les agents du désordre et elle doit le faire sans faillir. Trop de vies françaises ont été offertes en sacrifice à cette inaction pénale criminelle. Nous, Français, avons le devoir de le dire : plus jamais ça.
Pierre-Nicolas Nups – Secrétaire général du Parti de la France
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