Les événements qui viennent de secouer la Roumanie sont une insulte à la démocratie et une trahison flagrante de la souveraineté populaire. L’annulation des élections, suite à la victoire manifeste de Georgescu, n’est pas le fruit d’une quelconque irrégularité interne mais d’une machination abjecte. Le prétexte avancé par les autorités pour justifier cet acte scandaleux est d’une démagogie ahurissante : elles ont invoqué des « ingérences étrangères », notamment via l’utilisation de la plateforme TikTok, comme raison de cette annulation. Une accusation ridicule et sans fondement qui cherche à détourner l’attention du véritable problème : la peur des élites face à une voix populaire forte et indomptable.
Cette excuse fallacieuse d’« ingérence » est un écran de fumée, une tentative de délégitimer un scrutin légitime sous prétexte que des acteurs étrangers (on accusera encore les Russes) se seraient immiscés dans la campagne électorale. Comment ? Par TikTok. Oui, vous avez bien lu : une application, utilisée par des millions de jeunes à travers le monde, est devenue le bouc émissaire idéal pour disqualifier un résultat démocratique. Les responsables politiques qui ont recours à un tel argument montrent leur mépris total pour le peuple roumain et pour la vérité. Cette manipulation est non seulement risible mais dangereuse. Elle est un symptôme de la dérive autoritaire des élites qui, n’ayant pas réussi à faire taire le peuple par les urnes, recourent désormais à des prétextes grotesques pour voler la victoire de ceux qui s’opposent à leur projet mondialiste.
Cette attaque en Roumanie n’est pas un incident isolé. Elle révèle un schéma qui se dessine dans toute l’Europe : des élites soumises à des puissances étrangères, qui cherchent par tous les moyens à écraser la souveraineté des peuples, à détruire les démocraties nationales pour imposer une Europe fédérale sous leur contrôle. Le recours à des accusations sans fondement, comme celle des prétendues ingérences, est le dernier avatar de cette tyrannie rampante qui veut réduire les peuples européens à de simples spectateurs de leur propre avenir.
Mais le peuple roumain n’acceptera pas cette défaite imposée par des forces occultes. Georgescu, symbole de la souveraineté retrouvée et de la fierté nationale, incarne l’espoir d’une Europe des nations libres et indépendantes. Sa victoire au premier tour, bien que bafouée, demeure un défi jeté à ceux qui tentent de faire taire la volonté des peuples par des moyens détournés et injustes.
Le Parti de la France adresse son soutien au peuple roumain à qui l’oligarchie mondialiste veut voler l’élection.
Thomas Petit – Membre du Conseil national du Parti de la France et étudiant en Roumanie
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