D’après les témoignages que je reçois de sympathisants du Parti de la France en Nouvelle-Calédonie, l’ordre est loin d’être rétabli : juste quelques routes dégagées, des émeutiers qui reprennent possession des lieux quelques minutes après le passage des forces de l’ordre, d’innombrables bâtiments – publics comme privés – incendiés, des policiers kanaks qui renseignent les voyous indépendantistes, une fonction publique nullissime (le Haut-Commissaire en tête), des pénuries de tout, une haine du Blanc à son paroxysme.
Comme il fallait s’y attendre, le gouvernement est tout aussi incapable d’assurer la sécurité des Calédoniens que celle des Français de métropole. Tant par incompétence que par manque de volonté politique.
Assez de tergiversations, de capitulation et de demi-mesures, il faut donner les consignes nécessaires pour neutraliser, arrêter et emprisonner les insurgés puis condamner ceux-ci à de très longues peines de prison.
Le retour à l’ordre est à ce prix.
Thomas Joly – Président du Parti de la France
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