Le milliardaire américain George Soros écrit dans une tribune que publie le Wall Street Journal qu’il va investir 500 millions de dollars (448 millions d’euros) pour venir en aide aux migrants et aux réfugiés.
Le milliardaire américain George Soros écrit dans une tribune que publie le Wall Street Journal qu’il va investir 500 millions de dollars (448 millions d’euros) pour venir en aide aux migrants et aux réfugiés.
L’investisseur répond ainsi à l’appel de l’administration Obama en faveur d’une action des entreprises américaines en réponse à la crise des migrants.
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ET AUSSI George Soros : Je “briserai les frontières” et “éradiquerai la maladie du nationalisme” George Soros, le milliardaire mondialiste, s’est engagé à “lutter” contre la “maladie” du “nationalisme” en Europe et en Amérique, promettant de briser les frontières.
Soros, qui a récemment écrit dans le Financial Times, a averti que les gens assez stupides pour être “fiers” de leur pays verraient leur “idéologie dominante s’effondrer autour d’eux.”
Soros, qui est l’orchestrateur “d’Open Borders” blâme les pirates informatiques russes pour les attaques dont il a été victime en 2016, et le gouvernement du pays a inscrit son organisation ‘humanitaire’ dans une liste noire pour avoir “menacé la démocratie constitutionnelle et la sécurité nationale”.
Soros a déclaré au journal libéral de gauche : “On a déjà vu tout cela à l’exception de l’idéologie dominante dans le monde qui est maintenant … le nationalisme. C’est l’UE qui est l’institution qui est sur le point d’éclater.”
“Et la Russie est désormais la puissance principale, basée sur le nationalisme”, a déclaré Soros.
Breitbart a rapporté:
“L’homme de 87 ans avait envisagé de réduire progressivement l’OSF avant sa mort, mais réalisant l’augmentation de la population mondiale anti-mondialiste et anti-progressistes, il a transféré 18 milliards de dollars de sa propre fortune dans les fonds d’Open Borders en octobre 2017 et s’est engagé à rester le président pendant encore cinq ans – ou plus.”
“Je pense qu’on peut dire que j’ai beaucoup de chance avec mes ennemis”, a dit Soros. “Je me sens plus que prêt à me battre et à défendre ce qui est juste.”
Le concept de “ce qui est juste” est limpide pour le milliardaire, en fonction de ses enjeux financiers.
Le spéculateur, qui a “ruiné la Banque d’Angleterre” en vendant à découvert des livres sterling en 1992, s’est décrit comme “une personne qui, à un moment donné, se livre à une activité immorale et le reste du temps tente de préserver une certaine morale” dans une interview de 60 minutes en 1998 où il a tenté de rationaliser ses vagues de destruction de nations souveraines en spéculant avec sa “philanthropie”.
Soros a démenti les accusations selon lesquelles ses organisations étaient directement impliquées dans la chute des gouvernements en Ukraine, en Macédoine et en Géorgie, bien qu’il ait admis au Financial Times que ses agents étaient impliqués dans les manifestations de 2014 sur la place Maidan en Ukraine, déclarant:
“Nous n’avons pas été impliqués dans les combats – c’est contraire à nos directives et principes.
Mais nous étions des partisans des combattants et c’était aussi pendant Maidan.”
En Macédoine, le vice-président de l’organisation Stop Operation Soros, Cvetin Chilimanov, a accusé l’OSF d’organiser des manifestations dans les Balkans.
Les nations d’Europe centrale ont été des opposants farouches aux interventions de Soros, et le milliardaire est considéré par le gouvernement hongrois comme étant derrière les plans de l’UE d’ouvrir les frontières de la Zone Schengen à des millions de personnes issues du Moyen-Orient et de l’Afrique par l’institutionnalisation d’une politique migratoire forte.
La semaine dernière, lors d’une audition du Parlement européen, le groupe de défense des droits des migrants soutenu par Soros, le Comité Helsinki hongrois et la Fondation Helsinki pour les droits de l’homme en Pologne, ont exhorté le Parlement européen à mettre en place un “instrument de valeurs européennes”qui soutiendrait financièrement les ONG qui “protègent les valeurs européennes”dans les États membres.
L’audition a été organisée par les législateurs européens Sophie in’t Veld et Frank Engel – tous deux nommés comme deux des 226 “alliés fiables” de l’Open Society European Policy Institute de Soros au Parlement européen.
Source https://www.nouvelordremondial.cc/2018/01/18/ –
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