Obsédés par leur braguette, les militants pédérastes profitent de la Coupe du monde de football pour mettre leur sexualité dépravée au centre des débats, c’est plus fort qu’eux ! Le directeur de la communication de la FIFA, Bryan Swanson, a ainsi déclaré Je suis assis ici, au Qatar, en tant que gay alors que de toute évidence, il était plutôt là en tant que… directeur de la communication de la FIFA !

Dans le même registre, le président de la FIFA, Gianni Infantino, en pleine transe woke, a déclaré Aujourd’hui je me sens Arabe, aujourd’hui je me sens Africain, aujourd’hui je me sens gay, aujourd’hui je me sens handicapé, aujourd’hui je me sens travailleur migrant. On ne voit pas très bien où cet hurluberlu veut en venir, si ce n’est clamer au monde entier, parce que ça a l’air très important qu’on le sache, qu’il ne se sent ni blanc ni hétérosexuel… Par contre nous savons tous très bien dans quels pays les homosexuels ont le plus de droits et sont le plus en sécurité : dans les pays créés par des blancs hétérosexuels !

Pourtant, le patron du football mondial a également déclaré Je pense qu’avec ce qu’on a fait pendant 3000 ans, nous, Européens, en tant qu’Européens, on devrait s’excuser pendant 3000 ans avant de donner des leçons de morale… ce qui est cocasse après avoir reproché aux Qataris de ne pas être gay-friendly ! Par contre, on aimerait bien savoir ce que 3000 ans d’Histoire de l’Europe devraient avoir à envier à l’Histoire du Qatar…

Bref, ces derniers jours la FIFA a sombré dans une espèce de turbo-wokisme antiblanc, le meilleur moyen de ne pas parler de la turbo-corruption qui sévit dans cette institution vérolée et à laquelle on doit cette Coupe du monde surréaliste en plein mois de novembre