Comme des dizaines d’autres bâtiments néo-négriers affrétés par les organisations complices des passeurs comme SOS Méditerranée (label « grande cause » décerné par le Premier ministre en 2017 permettant de bénéficier de campagnes publicitaires gratuites dans les médias), agissant sous pavillon de complaisance humanitaire et en partie subventionnées sur fonds publics ou régionaux (Occitanie par exemple), l’Aquarius, jouant de sa proximité phonétique avec l’Exodus à fin de production lacrymale optimum, poursuit ses allées-venues, véritable navette de l’ingression migratoire en Méditerranée.
Qu’au final le gouvernement français n’ait cédé ni aux demandes pressantes du communiste Gayssot (ex-ministre des transports de Mitterrand et auteur de la loi que l’on sait interdisant l’expression non conforme), d’accueillir le vaisseau pirate dans le port de Sète qu’il préside et d’en faire une plate-forme de débarquement pour les nouveaux colons, ni aux mises en demeure du chœur immigrationniste des vierges internationalistes, ne change rien à l’affaire. Qu’ils débarquent à Malte, en Espagne, au Portugal ou en France comme hier – et peut-être hélas à nouveau demain – en Italie, c’est vers le continent tout entier, à l’exception des pays ayant su retrouver leur dignité nationale comme la Hongrie de Victor Orban, que, par la grâce de Schengen et des quotas de répartition imposée par la Commission européenne, en vagues successives et incessantes, déferle l’écume invasive. Un flux à long terme destructeur de notre civilisation, et à court terme porteur des futurs acteurs de « faits divers » comme ceux – meurtres, viols ou agressions, qui se sont multipliés cet été en France, en Allemagne et ailleurs, sans même parler de la menace islamiste. On notera à ce propos que les demandes d’asile connaissent en France une très forte hausse (+ 17,8 % depuis le 1://5 er://5 janvier://5 ) et sont en passe de devenir une des formes les plus usitées d’immigration économique. Nul besoin, on le voit, d’accoster à Sète puisque, de toute façon, ils finissent toujours par échouer chez nous.
- Rien pourtant qui ne pourrait être stoppé si existait une volonté politique.
- Rien que ne pourraient bloquer en quelques heures quatre ou cinq frégates des marines nationales européennes par coups de semonce voire plus si nécessaire, et opérations d’arraisonnements avant retour vers la Libye ou la Tunisie.
- Rien qui ne pourrait être traité par la liquidation physique des réseaux de passeurs et l’arrestation de leurs complices.
- Rien qui ne pourrait être inversé par une politique de contrôle drastique des frontières maritimes comme terrestres, d’immigration zéro et de rémigration.
Cela, nous l’avons dit, exigerait une volonté sans faille et une détermination radicale. Cette volonté et cette détermination que possède le Parti de la France.
par Jean-François Touzé
membre du bureau politique du PdF
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