Par Bruno Hirout, Secrétaire général du PdF.
Ce premier dimanche de messes interdites par le régime, donc de facto de messes clandestines car nous adorons Dieu sans qu’un Macron ou un Véran ne vienne mettre son nez dans nos affaires, vient conclure une semaine où les chaînes d’information continue ont fait tourner la tête à bon nombre de Français.
Ce tourbillon d’actualités, ou plutôt ce tourbillon de commentaires de non-actualité, additionné à l’interdiction de se rendre normalement à la messe, est l’occasion pour chacun d’entre nous de remettre les choses à leur place : quelles que soient les décisions prises ici ou là, et quel que soit le pouvoir que les médias et les hommes politiques prétendent avoir sur nos vies, nous restons des hommes libres et le Christ est bien entendu le centre de la vie des hommes libres ; on n’est en effet pas libre quand on obéit aux élites laïcistes, et on n’est pas plus libre quand on s’obéit à soi-même comme un laïciste, en fonction de nos seules vérités forcément biaisées par notre nature humaine.
En ce sens, le fait que le régime d’Emmanuel Macron et de Jean Castex nous contraigne d’avoir à sortir des sentiers battus pour nous organiser et bénéficier de la sainte messe, doit finalement être pris comme l’opportunité d’être encore plus chrétiens et de revenir à la plus pure amitié avec le Christ, celle qui n’est pas routinière mais vivante, celle qui nécessite des efforts, si petits soient-ils.
Ce confinement et ces turpitudes internationales, qui viennent s’ajouter à d’autres maux comme la colonisation de notre pays ou encore la crise dans l’Eglise, sont autant de chances que nous avons de vivre une vie de combat et une foi de combat. Il nous appartient, à nous les hommes libres, de se servir de ces maux pour nous améliorer sans cesse, pour être de meilleurs chrétiens et de meilleurs Français, et c’est ainsi qu’ensemble nous enverrons les Macron, les Castex et leur régime à leur place la plus légitime : les poubelles de l’Histoire
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